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 MILDT : Jeunes et alcool

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Lionel
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Lionel


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Date d'inscription : 03/03/2005

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MessageSujet: MILDT : Jeunes et alcool   MILDT : Jeunes et alcool EmptyJeu 21 Déc - 0:12

Lettre d'information de www.drogues.gouv.fr

Extrait de la revue de presse du 20.12.2006 :


MILDT : Jeunes et alcool Logo_vsd se penche sur « Les jeunes et l’alcool » pour pointer que « l’objectif » consiste à « se saouler ».

Gros plan sur la fête organisée par une grande école de commerce, où deux heures durant, l’alcool est bradé à 1 euro symbolique puis passe à deux euros après 1 heure du matin.
Soulignant que l’opération est réalisée en partenariat avec deux grandes marques d’alcool qui en profitent pour cerner leur cible en offrant des dégustations gratuites sur de nouveaux produits, le magazine précise que chaque année près de 20 000 soirées étudiantes de ce type sont organisées, avec pour principal argument le prix des consommations.

Selon Thomas, 22 ans, « dans ces soirées (...) l’objectif est clairement de finir torché ».

L’hebdo qui note que pourtant la consommation globale d’alcool est en baisse, rapporte que selon François Beck de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies, « ce sont les comportements et les usages qui ont changé » avec « une hausse de la consommation ponctuelle et excessive ».

Pour Philippe Batel, alcoologue, « le fait que les jeunes boivent n’est pas nouveau » mais « ce qui est plus préoccupant, c’est la recherche systématique de la défonce à laquelle on assiste aujourd’hui », des pratiques comparables à celles des pays du Nord de l’Europe.

D’après F. Beck « on assiste à une forme de mondialisation des manières de boire ».
Affirmant que cette consommation est « plus espacée, plus festive mais aussi beaucoup plus dangereuse », le journal relève qu’outre les risques sanitaires qu’elle comporte, les associations mettent en garde sur les dérives sociales liés à ces comportements, avec des incidents graves dont un décès dans une grande école.

Le magazine qui indique que depuis lors, certaines écoles ont interdit les « opens bars », souligne que l’Etat est monté au créneau en attirant l’attention des gérants d’établissements de nuit sur les risques liés à ces soirées, la priorité des pouvoirs publics restant la sécurité routière.

Toutefois pour le directeur de l’association Avenir santé « c’est indispensable mais insuffisant ( ...) les accidents de la route (...) ça évite bien souvent de parler du reste » or « le piège des campagnes du « conducteur désigné » c’est qu’elles incitent indirectement tous les autres à boire ».

D’après l’hebdo, alors que certains députés veulent vanter à l’école les bienfaits du vin, l’institution scolaire s’efforce de sensibiliser à ses dangers potentiels, sachant que plus de trois élèves sur cinq déclarent avoir déjà bu à l’école.

Rapportant que selon un responsable de discothèque, les jeunes sortent de plus en plus tôt aujourd’hui, la revue fait état des évènements sans alcool qu’il organise à l’intention des 14-16 ans, alors que son établissement attire le samedi soir les 16-18 ans, avec cette fois ci une consommation libre des alcools de catégorie 2 (bière, cidre, vin, champagne) sur présentation d’une carte d’identité.

L’hebdo qui relève que d’autres lieux proposent des soirées privées aux garanties légales moins claires, et d’où « les fêtards, en général mineurs, repartent souvent dans un état lamentable », note que selon un gérant d’établissement de nuit « dans ce type de soirées, les contrôles sont pratiquement inexistants et personne ne dit rien ».

Et le magazine de souligner en conclusion que les professionnels de santé insistent sur les risques précoces d’accoutumance et la nécessité de responsabiliser les parents, sachant que les usages répétés et excessifs peuvent conduire à une dépendance psychologique importante, voire à des pathologies plus graves.

© Mission Interministérielle de Lutte contre la drogue et la Toxicomanie
© image gif VSD
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